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Au fait, vu que le stage avec Richard a l'air de plaire, voici la démarche pour en organiser un chez vous.
Un stage, c'est tout d'abord un budget :
Rémunération et frais de déplacement du formateur ;
Nourriture des participants ;
Logement ;
Documents qui seront distribués ;
Matériel utilisé...
La facture monte vite, MAIS, étant donné qu'il s'agit de stage sur un public restreint (10 pilotes c'est le bout du monde), il est possible d'adopter la SMKC's touch : chacun emmène sa bouffe, et on partage en commun. Idem pour le logement : éviter l'hôtel fait faire de sérieuses économies à tout le monde.
Il est possible d'organiser un stage hors cadre, MAIS, dans ce cas-là, même sans hôtel et sans bouffe, c'est 50€ à payer par pilote. D'expérience, personne ne paye ce prix-là, et les stages sont annulés.
Donc, pour avoir un financement, le mieux est d'être affilié en tant que club, et de monter un dossier CNDS via son CDVL (instance départementale du Vol Libre), ou sa Ligue (instance régionale), qui va au moins prendre en charge la rémunération du formateur Breveté d’État.
Le dossier CNDS impose quelques contraintes, notamment sur la forme - le stage doit tout d'abord être impérativement dans un but de perfectionnement d'athlète, pour aller vers la compétition notamment. C'est ce qu'on avait mis en place l'année dernière, déjà avec Richard Debray.
Cette année, le freestyle sera lui aussi mis dans ce cadre-là, et on va essayer de motiver les pilotes pour aller vers la compétition, même si je sais que c'est dur.
Tous les participants doivent être affiliés à la FFVL.
Et quelques autres que je n'ai plus en tête...
En bref : prenez contact avec votre Ligue ou votre Comité Départemental !
Un stage, c'est tout d'abord un budget :
Rémunération et frais de déplacement du formateur ;
Nourriture des participants ;
Logement ;
Documents qui seront distribués ;
Matériel utilisé...
La facture monte vite, MAIS, étant donné qu'il s'agit de stage sur un public restreint (10 pilotes c'est le bout du monde), il est possible d'adopter la SMKC's touch : chacun emmène sa bouffe, et on partage en commun. Idem pour le logement : éviter l'hôtel fait faire de sérieuses économies à tout le monde.
Il est possible d'organiser un stage hors cadre, MAIS, dans ce cas-là, même sans hôtel et sans bouffe, c'est 50€ à payer par pilote. D'expérience, personne ne paye ce prix-là, et les stages sont annulés.
Donc, pour avoir un financement, le mieux est d'être affilié en tant que club, et de monter un dossier CNDS via son CDVL (instance départementale du Vol Libre), ou sa Ligue (instance régionale), qui va au moins prendre en charge la rémunération du formateur Breveté d’État.
Le dossier CNDS impose quelques contraintes, notamment sur la forme - le stage doit tout d'abord être impérativement dans un but de perfectionnement d'athlète, pour aller vers la compétition notamment. C'est ce qu'on avait mis en place l'année dernière, déjà avec Richard Debray.
Cette année, le freestyle sera lui aussi mis dans ce cadre-là, et on va essayer de motiver les pilotes pour aller vers la compétition, même si je sais que c'est dur.
Tous les participants doivent être affiliés à la FFVL.
Et quelques autres que je n'ai plus en tête...
En bref : prenez contact avec votre Ligue ou votre Comité Départemental !
