Synopsis : Au Moyen-Age, la tranquillité d'un petit village japonais est troublée par les attaques répétées d'une bande de pillards. Sept samouraïs sans maître acceptent de défendre les paysans impuissants.

Un grand classique, film qui a inspiré de nombreux cinéastes bien connus, et dont un remak bien célèbre les 7 mercenaires, j'ai trouvé ce film assez rigolo, un peu long tout de même mais sympa !

15/20

rad a écrit:

Synopsis : Au Moyen-Age, la tranquillité d'un petit village japonais est troublée par les attaques répétées d'une bande de pillards. Sept samouraïs sans maître acceptent de défendre les paysans impuissants.

Un grand classique, film qui a inspiré de nombreux cinéastes bien connus, et dont un remak bien célèbre les 7 mercenaires, j'ai trouvé ce film assez rigolo, un peu long tout de même mais sympa !

15/20

Dans ce style SOLEIL ROUGE

oki si j'ai l'occaz !

Grand torino


Synopsis : Walt Kowalski est un ancien de la guerre de Corée, un homme inflexible, amer et pétri de préjugés surannés. Après des années de travail à la chaîne, il vit replié sur lui-même, occupant ses journées à bricoler, traînasser et siroter des bières. Avant de mourir, sa femme exprima le voeu qu'il aille à confesse, mais Walt n'a rien à avouer, ni personne à qui parler. Hormis sa chienne Daisy, il ne fait confiance qu'à son M-1, toujours propre, toujours prêt à l'usage...
Ses anciens voisins ont déménagé ou sont morts depuis longtemps. Son quartier est aujourd'hui peuplé d'immigrants asiatiques qu'il méprise, et Walt ressasse ses haines, innombrables - à l'encontre de ses voisins, des ados Hmong, latinos et afro-américains "qui croient faire la loi", de ses propres enfants, devenus pour lui des étrangers. Walt tue le temps comme il peut, en attendant le grand départ, jusqu'au jour où un ado Hmong du quartier tente de lui voler sa précieuse Ford Gran Torino... Walt tient comme à la prunelle de ses yeux à cette voiture fétiche, aussi belle que le jour où il la vit sortir de la chaîne.
Lorsque le jeune et timide Thao tente de la lui voler sous la pression d'un gang, Walt fait face à la bande, et devient malgré lui le héros du quartier. Sue, la soeur aînée de Thao, insiste pour que ce dernier se rachète en travaillant pour Walt. Surmontant ses réticences, ce dernier confie au garçon des "travaux d'intérêt général" au profit du voisinage. C'est le début d'une amitié inattendue, qui changera le cours de leur vie.
Grâce à Thao et sa gentille famille, Walt va découvrir le vrai visage de ses voisins et comprendre ce qui le lie à ces exilés, contraints de fuir la violence... comme lui, qui croyait fermer la porte sur ses souvenirs aussi aisément qu'il enfermait au garage sa précieuse Gran Torino...


Film plutôt sympa, dans la lignée des films de clint, bon un peu beaucoup sentimentaliste, du film américain pour faire pleurer les américains.

C'est un peu ce que je reprocherais aux films de clint eastwood, voilour du bon gros sentiment, avec toujours de la tragédie, pour faire pleurer les gens.
Perso, j'ai parfois du mal avec ses films, mais bon l'intrigue étant bien fichu, ça va, le film s'en sort pas mal.

Je donnerais 14/20.

rad a écrit:

Grand torino


Synopsis : Walt Kowalski est un ancien de la guerre de Corée, un homme inflexible, amer et pétri de préjugés surannés. Après des années de travail à la chaîne, il vit replié sur lui-même, occupant ses journées à bricoler, traînasser et siroter des bières. Avant de mourir, sa femme exprima le voeu qu'il aille à confesse, mais Walt n'a rien à avouer, ni personne à qui parler. Hormis sa chienne Daisy, il ne fait confiance qu'à son M-1, toujours propre, toujours prêt à l'usage...
Ses anciens voisins ont déménagé ou sont morts depuis longtemps. Son quartier est aujourd'hui peuplé d'immigrants asiatiques qu'il méprise, et Walt ressasse ses haines, innombrables - à l'encontre de ses voisins, des ados Hmong, latinos et afro-américains "qui croient faire la loi", de ses propres enfants, devenus pour lui des étrangers. Walt tue le temps comme il peut, en attendant le grand départ, jusqu'au jour où un ado Hmong du quartier tente de lui voler sa précieuse Ford Gran Torino... Walt tient comme à la prunelle de ses yeux à cette voiture fétiche, aussi belle que le jour où il la vit sortir de la chaîne.
Lorsque le jeune et timide Thao tente de la lui voler sous la pression d'un gang, Walt fait face à la bande, et devient malgré lui le héros du quartier. Sue, la soeur aînée de Thao, insiste pour que ce dernier se rachète en travaillant pour Walt. Surmontant ses réticences, ce dernier confie au garçon des "travaux d'intérêt général" au profit du voisinage. C'est le début d'une amitié inattendue, qui changera le cours de leur vie.
Grâce à Thao et sa gentille famille, Walt va découvrir le vrai visage de ses voisins et comprendre ce qui le lie à ces exilés, contraints de fuir la violence... comme lui, qui croyait fermer la porte sur ses souvenirs aussi aisément qu'il enfermait au garage sa précieuse Gran Torino...


Film plutôt sympa, dans la lignée des films de clint, bon un peu beaucoup sentimentaliste, du film américain pour faire pleurer les américains.

C'est un peu ce que je reprocherais aux films de clint eastwood, voilour du bon gros sentiment, avec toujours de la tragédie, pour faire pleurer les gens.
Perso, j'ai parfois du mal avec ses films, mais bon l'intrigue étant bien fichu, ça va, le film s'en sort pas mal.

Je donnerais 14/20.

perso j aurais mis plutot 16/20 moi
ai vraiment aimé ce film

rad a écrit:

C'est un peu ce que je reprocherais aux films de clint eastwood, voilour du bon gros sentiment, avec toujours de la tragédie, pour faire pleurer les gens.
Perso, j'ai parfois du mal avec ses films, mais bon l'intrigue étant bien fichu, ça va, le film s'en sort pas mal.

Je suis à peu près d'accord avec toi, hormis pour "Invictus" car là ce n'est plus de la fiction.
Il est très bien filmé, sans tomber dans le larmoyant. Et Morgan Freeman en Nelson Mandela est plus que convaincant (bon... Matt Damon en rugbyman passe à peu près, hein les filles ! )

invictus est sympa effectivement

un film peut être émouvant sans être tragique forcément.

Shutter Island



Synopsis : En 1954, le marshal Teddy Daniels et son coéquipier Chuck Aule sont envoyés enquêter sur l'île de Shutter Island, dans un hôpital psychiatrique où sont internés de dangereux criminels. L'une des patientes, Rachel Solando, a inexplicablement disparu. Comment la meurtrière a-t-elle pu sortir d'une cellule fermée de l'extérieur ? Le seul indice retrouvé dans la pièce est une feuille de papier sur laquelle on peut lire une suite de chiffres et de lettres sans signification apparente. Oeuvre cohérente d'une malade, ou cryptogramme ?


Bon film, bonne ambiance, bien aimé, 15/20 !

Je me suis matté dernièrement : Paranormal activity.

Honnêtement c bien flippant, un très bon film pour un si petit budget.

Pour les amateurs de frisson, épouvante, style : "l'exorciste", je vous le recommande vivement. Mettez un casque et montez le son.

a ba alors moi c'est unthinkable avec Samuel l. Jackson. un bon petit film avec une atmosphère de torture, de remord, une bonne morale.

j'ai bien aimé (je suis bon public)

je lui met 13/20

Vu dernièrement : "L'imaginarium du Docteur Parnassus"

Si vous aimez les film "barré", ben s'en est un.
Je savait pas ce que c'était ni de qui il était quand on me l'a proposé, mais c'est venu petit à petit et ça m'a rassuré de voir le nom du réalisateur au générique de fin : celui qui fait le bruit du cheval avec des noix de coco pour "Arthur, King of the Britain !"(pour les amateurs/connaisseurs ça va, pour les autres Terry Gilliam dans "Sacré Graal")

Le pitch : Une troupe de théatre ambulant propose de vivre son imaginaire personnel en passant à travers un mirroir magique ...

La sainte Victoire,
Clovis Cornillac, Christian Clavier

Citation :

Xavier Alvarez est un petit architecte
d’Aix-en-Provence en recherche perpétuelle de reconnaissance sociale. Il
s’est fait tout seul et prospère, mais ne parvient pas à décrocher de
gros marchés publics pour assouvir ses rêves de grandeur. Il décide donc
de se lancer corps, âme et biens dans la campagne de Vincent Cluzel, le
candidat outsider à la mairie, persuadé qu’il renverra l’ascenseur en
cas de victoire. À force d’énergie et de ruse, il parvient à discréditer
le favori et à faire élire son protégé. Mais leur amitié sincère, nouée
dans la conquête du pouvoir, se heurte alors aux limites des intérêts
et de l’ambition.

Sympatoche :15.5/20

moi rien d'original..

Shrek4
bon, pour ne pas être méchant on dira qu'il était temps que ça s'arrête, pas vraiment de nouvelles idées et de moins en moins d'humour. mention spéciale toutefois au chat qui sauve le film
note 13/20

matté au ciné hier FATAL




un film hautement culturel, vous pouvez l'imaginer..
Franchement, les blagues et le scénar sont connu d'avance. On rigole à deux ou trois situations et puis voila.
Sinon pas mal de rythme, mais assez vulgaire et grossier tout de même..

10/20 ..

Le livre d'Eli

Citation :

Dans un futur proche, l'Amérique n'est plus qu'une terre désolée dont
les villes sont des ruines et les routes autant de pièges infestés de
bandes criminelles. Depuis des années, Eli voyage seul, se protégeant
des attaques et se battant pour trouver de quoi survivre. ... son
destin est de redonner l'espoir, de sauver le futur en soufflant sur les
braises d'une humanité qui n'attend que l'étincelle...

Un bon 16/20

Inception

18/20

Ne lisez pas trop de commentaires dessus avant d'y aller pour ne pas gâcher le plaisir (et parce que les critiques disent souvent de grosses bêtises).

C'est un film long mais très rythmé qui sort largement du lot avec des concepts relativement peu explorés dans le cinéma. Des scènes d'action et des effets spéciaux bien intégrés, un scénario qui fait un peu plus bosser les méninges que d'habitude (c'est rare à Hollywood!).

C'est personnel, mais ça m'a évoqué les films suivants pour leurs qualités ou leur originalité : Oceans Eleven (sans l'humour), Shutter Island, Matrix 1, Déja vu, Spy game, tout ça avec son truc en plus, un esprit Shadowrun contemporain pour ceux qui connaissent.

Un petit bémol sur le doublage VF raté d'un personnage secondaire et le casting d'un autre personnage, ce qui m'a ennuyé 5-10 minutes dans un film de plus de 2h.

Petite rétro de l'année 2010...

Vu sur Zigonet, un cinéphile américain a eu l'idée de combiner
270 films de l'année 2010 en un montage de six minutes !





Franck.

lobos a écrit:

Inception

18/20

Ne lisez pas trop de commentaires dessus avant d'y aller pour ne pas gâcher le plaisir (et parce que les critiques disent souvent de grosses bêtises).

C'est un film long mais très rythmé qui sort largement du lot avec des concepts relativement peu explorés dans le cinéma. Des scènes d'action et des effets spéciaux bien intégrés, un scénario qui fait un peu plus bosser les méninges que d'habitude (c'est rare à Hollywood!).

C'est personnel, mais ça m'a évoqué les films suivants pour leurs qualités ou leur originalité : Oceans Eleven (sans l'humour), Shutter Island, Matrix 1, Déja vu, Spy game, tout ça avec son truc en plus, un esprit Shadowrun contemporain pour ceux qui connaissent.

Un petit bémol sur le doublage VF raté d'un personnage secondaire et le casting d'un autre personnage, ce qui m'a ennuyé 5-10 minutes dans un film de plus de 2h.

vu inception
idem, du bon film ! un bon di carpaccio en +..

vu " Phénomènes "

Nul pour ma part .. 08/20 ( je ne conseil pas ) !!!
p'tain d'ambiance .... bizzare ...

Synopsis : Surgi de nulle part, le phénomène frappe sans discernement. Il n'y a aucun signe avant-coureur. En quelques minutes, des dizaines, des centaines de gens meurent dans des circonstances étranges, terrifiantes, totalement incompréhensibles. Qu'est-ce qui provoque ce bouleversement radical et soudain du comportement humain ? Est-ce une nouvelle forme d'attaque terroriste, une expérience qui a mal tourné, une arme toxique diabolique, un virus qui a échappé à tout contrôle ? Et comment cette menace se propage-t-elle ? Par l'air, par l'eau, ou autrement ? Pour Elliot Moore, professeur de sciences dans un lycée de Philadelphie, ce qui compte est d'abord d'échapper à ce phénomène aussi mystérieux que mortel. Avec sa femme, Alma, ils fuient en compagnie d'un ami, professeur de mathématiques, et de sa fille de huit ans. Très vite, il devient évident que personne n'est plus en sécurité nulle part. Il n'y a aucun moyen d'échapper à ce tueur invisible et implacable. Pour avoir une mince chance de survivre, Elliot et les siens doivent à tout prix comprendre la véritable nature du phénomène, et découvrir ce qui a déchaîné cette force qui menace l'avenir même de l'espèce humaine...

même la pluie



Synopsis : Sebastian, jeune réalisateur passionné et son producteur arrivent dans le décor somptueux des montagnes boliviennes pour entamer le tournage d'un film. Les budgets de production sont serrés et Costa, le producteur, se félicite de pouvoir employer des comédiens et des figurants locaux à moindre coût. Mais bientôt le tournage est interrompu par la révolte menée par l'un des principaux figurants contre le pouvoir en place qui souhaite privatiser l'accès à l'eau courante. Costa et Sebastian se trouvent malgré eux emportés dans cette lutte pour la survie d'un peuple démuni. Ils devront choisir entre soutenir la cause de la population et la poursuite de leur propre entreprise sur laquelle ils ont tout misé. Ce combat pour la justice va bouleverser leur existence.

Pas mal j'ai trouvé, 14/20, assez réaliste donc. Bien



l'ange exterminateur




Synopsis : Edmundo et Lucia de Nobile, un couple bourgeois de Mexico, donnent une réception après l'opéra dans leur luxueuse demeure. Quelques faits bizarres se produisent alors : des domestiques partent sans expliquer leur comportement, les invités connaissent une impression de déjà vu, Ana retire de son sac deux pattes de poulet alors que Blanca joue au piano une sonate de Paradisi.
Au moment de partir, une étrange réaction interdit aux invités de quitter les lieux. Ces derniers finissent par dormir sur place. Mais le lendemain matin, ils constatent qu'il est toujours impossible de sortir du salon.

Film de bunel, mélangant le fantastique et le cauchemard, bon film avec une bonne critique sociétale
16/20 pour ma part

The Tree of Life - Terrence Malick, 2011.



J'attendais ce film comme le Graal, fan de Malick depuis des années. J'aime sa sensibilité, sa manière d'effleurer les choses, de construire un film autour de ses personnages, avec le vent, la pluie, la nature.

J'ai douté. Lu les critiques qui divisent, les procès fait à Malick, parlant d'un film indigeste, d'une bondieuserie écœurante. Je n'aurais pas dû douter.

Voir The Tree of Life, c'est voir un impressionniste au travail, construire son tableau touche par touche, c'est voir un cheminement humain, une prière, depuis l'émerveillement, l'Éden, jusqu'à la transcendance, à toutes les échelles, en abolissant le macroscopique et le microscopique.

C'est une œuvre d'unité. C'est la vie mise dans une bouteille, et offerte.

Une claque.

j'ai été voir hier donc ce fameux film "the tree of life" qui a remporté des prix à Cannes. les fims primés évoquent toujours la curiosité (forcément) chez moi.

Ne connaissant que peu ce malick (j'ai juste vu la ligne rouge, film que je n'ai pas apprécié au demeurant.. trop lent, trop de longueur etc..)
ni n'ayant lu aucune critique au préalable (peut être aurais je du ? lol)..

Effectivement, ce film est plutôt à regarder comme un grand tableau, que comme un film traditionnel.

Une certaine lenteur (encore une fois ?) pousse le spectateur à faire attention à l'image, aux représentations de chaque scène.

Bon après, c'est comme tout tableau, soit cela nous parle, soit on reste indifférent. Pour ma part je suis resté assez indifférent.

Dans l'ensemble beaucoup de rapport au biblique, la religion, au cosmique, la création de l'univers, des représentations de paradis (et oui on s'y retrouvera tous comme le dis la chanson..) le bien le mal, du mal en chacun d'entre nous, etc.. bref, voila en gros les thèmes de réflexions (assez "god bless you" dans l'esprit je trouve).

Quelques passages sympa sur l'enfance des protagonistes qui pourra toujours éveiller en soi quelques souvenirs de sa propre enfance.

Ce film a quand même le mérite de ne pas ressembler à toutes les productions hollywoodiennes, bourrés de rythme action. Bref, il oblige le spectateur à prendre son temps (et oui on a payé la place de ciné, donc bon on regarde quoi..)

En tout cas c'est rare (voir jamais vu) un Brad pitt dans ce genre de film.

Une chose étonnante, parmi les spectateurs, j'ai retrouvé des réactions similaires lorsque je me ballade aux beaux arts dans les expos, des gens se marrent par l'incompréhension de ce qu'ils voient et jugent ridicule ce qu'ils ont en face des yeux.. S'en vont en plein séance..

Je reste tout de même étonné sur les récompenses que ce film a reçu à cannes tout de même. Un film intéressant sur certains points, ok, mais bon de la a remporté la palme..

La planete des singes les origine


un peu long au debut mais quand c'est lancer c'est lancer !!
j'ai trouver le film très bon meme si certaine chose sont un peu exagéré .
18/20

quelques films en pagailles vu dernièrement
mélancholia



film dans le style tree of life, faut aimer quoi..

Je l'ai trouvé bien chiant, il ne se passe rien, on reste sur des plans séquence sur les visages qui dure des plombes, comme si filmer quelqu'un au ralenti devait émotionner tout le monde.
Beaucoup de séquence faussement gothique également.. gros lol.

un film sf d'intello bobo, sans idée, lent, où il ne se passe vraiment rien. J'ai vraiment du mal a comprendre les critiques de ciné parfois qui parle de génie quand ce n'est qu'un ensemble de vide.

8/20 car je suis généreux.. arf.

the murderer


film thriller coréen, un peu dans l'esprit old boy, bref, ça émoglobine à tout va.
Un sénario assez fouilli, assez complexe, on a du mal a suivre et tout comprendre. Cela dit, bonne ambiance générale, bon film.

14/20.

du même réalisateur
j'ai rencontré le diable



Un film entre thriller et film gore a la "saw".
Vraiment pas mal, moi j'ai bien aimé. Si vous aimez les saw, vous aimerez ce film je pense.

14/20.

The chaser du même réalisateur


alors la, c'est du grand guignolesque, les policiers sont surement les plus bêtes du monde, les acteurs également. On nous prends pour des imbéciles dans ce film, c'est pas possible.. Pourtant il est bien noté par les critiques, l'impression de ne pas avoir vu le même film..

La déception pour ma part
5/20..

Des trois films coréens, je n'ai vu que The Chaser.
J'avais bien aimé le rythme (la course poursuite dans le vieux Séoul), le ton nouveau et un peu décalé, un peu l'histoire et pas trop l'humour.
La satire sur la police coréenne est un peu crispante (il faut sûrement être coréen pour pouvoir l'apprécier...).
C'est quand même un premier film.

Dans la même veine coréenne, il y avait The Memories of Murder de Bong Joon-Ho.
Une sorte de The Pledge en plus noir qui flirterait dans les scènes comiques (et absurdes) avec l'humour nihiliste d'un Kitano.

C'était une époque où je découvrais le nouveau cinéma coréen, Park Chan Wook avec Sympathy for Mr Vengeance et Joint Security Area.
Deux films qui me faisaient découvrir un cinéaste original au style affirmé et un cinéma dynamique.
Depuis, j'ai tout vu jusqu'à Thirst.

---------
Pour Lars van Trier, j'ai tout vu aussi...
Même si je n'ai pas aimé son avant-dernier Antichrist, malgré une séquence d'ouverture magistrale.
Le reste me semblant parfaitement inutile.
Mais, j'aime l'aspect formel de ses films.
Son sens de la dramaturgie et sa direction d'acteur.
Et ses films ne (me) laissent jamais indifférent.

Donc, j'irai voir Melancholia, malgré la note (généreuse) et que je ne sois pas un "intello bobo" et aussi parce que j'aime bien la Marie-Antoinette...
Mais surtout, parce que c'était prévu et que je ne lis jamais les critiques...

Globalement, un film c'est toujours une expérience à faire, à tenter.
Un film comme une oeuvre d'art est toujours une proposition.
Un artiste n'impose pas son oeuvre, il la propose.
Ensuite, cette oeuvre advient parce qu'elle rencontre un public.