Bonjour,

Voilà ... il a fallu que je vois d'en haut comment cela se passe.
Je viens donc de faire une initiation vole à voile, immédiatement suivi d'une formation élève pilote.
J'ai ainsi un an devant moi pour être autorisé à voler seul librement avec un planeur.
Un gros bouquin à assimiler et des heures de pilotage à collectionner !!

Cela reste en plein avec notre activité.

Du coup je vous livre ici quelques photos....





Bons vols

Tu nous feras passer tes cours sur la météorologie et sur les thermiques...

C'est du lourd... Courage

Si tu veux. Même si l'application à notre sport parait difficile puisque nous évoluons au ràz de sol alors qu'un planeur en évolution est autour de 500 m minimum !!

Bravo Marcel pour ton implication dans cette superbe discipline vélivole ... de haut vol !  

.. mais, comment vas-tu arriver à faire rentrer tout ça dans tes semaines de seulement 7 jours de 24 heures  ?     .. en conjuguant le planeur avec ton activité de cervoliste, pour laquelle tu es déjà si actif .. et à laquelle tu viens d'ajouter des rencontres d'initiation et de partage, comme celle que tu as organisé récemment avec succès sur la plage de Canet-en-Roussillon.



Philippe

Bonjour,
Etant moi même pilote (plus avion mais quand même avec 200 Heures de planeur) , certaines techniques que l' on doit acquérir au vol à voile me servent à faire voler mon monofil, notamment lorsque le vent est faible. Ou alors pour chercher "là ou cela monte" , dans les terrains accidentés ou je vais.

Bonjour, pour illustrer mon dernier message.
 Hier on a eu un bel orage, donc aujourd' hui c'était un ciel de traine toute la journée.
 A chaque fois qu' un cumulus passait, et que mon cerf volant se trouvait au vent et au soleil du nuage, il montaint très vite et se retrouvait à la verticale, pour retomber après.
 Et inversement, lorsque mon cerf volant était de l' autre coté des nuages, dans ce que l' on appelle en vol à voile "une dégueulante", mon cerf volant perdait vite de l' altitude.

 Donc oui, on peut ressentir en cerf volant ce que l' on ressent en planeur.

 Il faut avoir quand même de beaux cumulus pas très hauts et bien joufflus (ils étaient cet après midi à 1500 m ce n' est pas beaucoup dans le sud) , et avoir du fil.

C' était un temps à faire du planeur aujourd' hui, et du parapente, même si le plafond n' était pas très haut, cela montait de partout.